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(voir site www.bouzarea.org).je n’ai pas pu trouver de traces sur son parcours, mais j’ai j’ai su qu’il s’est converti par la suite en interprète judiciaire. il s’est marié à constantine et y a élu domicile. le second mr cherif madani promotion 1879/1882.il a enseigné dans la régionde tizi ouzou puis à bousaada. admis à l’école d’interprétariat de constantine fonction qu’il a exercée jusqu’à son admission à la retraite. ces deux pionniers furent rejoints par une quinzaine d’autres au file des années. vous trouverez ci après le parcours de chacun . 1/ chemissa ahmed ben jeridi : né le03/3/1876 ; il a été admis au cours normal de bouzarea de 1891 à 1894 .il est nommé à maamras, puis à rahmane en 1898 puis à bousaada en 1900 ; duperré en1907, aumale en 1910 ; ouled khaled en 1913 enfin à bousaada en 1916.il obtient son b.e et le c.a.p et fut décoré du nichane iftikhar .admis à la retraite en 1934. 2/ chennouf ali né le 28/10/1877 à bousaada. admis au cours normal de bouzarea de 1891 à 1894 .il est nommé le 11/01/1895à elhamel(bousaada) puis à ouled khaled en 1896 ; elhammame en 1898 enfin bousaada en 1909. 3/ chennouf moussa né le26/3/1875 à bousaada .admis à l’ecole normale de bouzarea de 1893 à1896 .titulaire du c.e.p et du b.e (1893et1897) c.a.p en 1895 .il a été nommé successivement... read more posted by tarek gom on 30.janv..2012 culture & loisirs désolé, cet article est seulement disponible en deutsch, english et العربية . read more posted by tarek gom on 30.janv..2012 munafassa désolé, cet article est seulement disponible en deutsch, english et العربية . read more posted by tarek gom on 30.janv..2012 immobilier désolé, cet article est seulement disponible en deutsch, english et العربية . read more posted by tarek gom on 30.janv..2012 geoloc tourisme cem lycées mairie daira!! hôpital hamam lieux sportifs mosquées poste ... read more posted by tarek.b on 30.janv..2012 histoire le site préhistorique : si hérodote a pu écrire que « l’egypte est un don du nil », youcef necib le paraphrasant dans son étude sociologique, écrivait, que bou-saâda est un don de sa rivière. des vestiges culturels des plus anciens, sont localisés sur les bords de l’oued. en amont de la cité, les chercheurs ont exhumé de nombreux outils préhistoriques sur la rive droite à 50 et 100 mètres entre bou-saâda et el-hamel. un autre site en aval, est signalé à roumana à l’est de la ville. des parois rupestres sont signalées à tafza, à droite de la route menant à sidi-ameur. il est identifié plusieurs gisements, le « zaccar », le «es- sayar », « el-onçor ». les couches archéologiques contenant les outils lithiques, sont à une profondeur allant de 0,50 à 1,60 m. ce détail est important, il explique pourquoi de nombreux bou-saâdis détiennent, des collections d’outils préhistoriques. le site pré-romain et romain : les vestiges berbères pré-romains sont beaucoup plus nombreux, que les vestiges proprement romains. les premiers présentent la souplesse et l’adaptation à la typologie du terrain, les seconds, la rigidité martiale des centurions. c’est probablement ce trait urbanistique, qui fit penser que le « billard » du mont selat (1600